Les séries de science fiction

Nous enseignent l’homme et sa condition.

L’espace l’ultime frontière

Où des homos sapiens sapiens sont prisonniers sur un bout de terre

(Ceux qui s’échappent ne s’échappent pas bien loin).

Année interstellaire: 15 ans avant mon cousin.

L’univers selon certains, est illimité.

La lumière des étoiles ne peuvent donc pas l’éclairer.

Pour d’autres sa taille suscite des réflexions.

Tout dépend de son expansion.

Le Big Crunch, collision des galaxies

Permettra à un nouveau Big Bang un recommencement infini.

Regarder au dessus de vos têtes, le vide béant qui vous entoure.

Comparez-le à votre taille insignifiante, à votre squat dans le monde des vivants si court

Les notions qui nous dépassent et qui nous entourent

Pique la curiosité de notre espèce depuis toujours.

Regardez ce temps si lent qui s’écoule pour créer une galaxie,

Et le temps si court pour bâtir des villes, créer la vie, bâtir descimetières, créer des tueries.

Qu’adviendra vos efforts, votre oeuvre achevée

Quand vous ne vieillirez plus mais pourrirez.

Le soleil devenue naine blanche, n’aura pas besoin en explosant

De les détruire, car le temps les auras réduit à néant

L’homme n’est pas mature pour vivre sans règles traîtres?

Que de restriction pour qu’il ressemble de loin à ce qu’il prétend être

Il faut profiter de la vie, qui sans ce la compliquer est déjà assez dure

Faites comme prônait l’inventeur de la seringue: Epicure.

Profitez du moment présent qui....Houps! Il appartient déjà au passé.

Ne vous en occupez plus, préoccupez vous de celui qui va arriver.

Pas de passé pas de futur, seul compte la seconde actuel improvisée

La passer avec brio est petit moment pour l’homme un grand pour l’humanité.