« Nos différentes personnalités en perpétuel conflit se demande devant la mort quelle attitude adopter ». Cette phrase est tirée d'une pièce de théâtre que j'a écrit, mais la mort n’existe pas dans la mesure où nous ne somme composé que de matière ( et la matière ne meurt pas, elle se transforme), nos sensations, sentiments, pensée sont les interprétations de notre cerveau des illusions crées par des stimulus. L’homme croit être diffèrent du reste de l’univers, des autres choses, végétaux et même des animaux.. Cette différence ils l’appellent l’âme. Ils se croient civilisé (je promet de ne pas parler des catastrophes causée par les hommes ce serais trop facile) notamment depuis le machinisme, de la fabrication à la chaîne, où chaque hommes à sa place précise et définitive (comme dans la société). Notre société est identique à celle des petits mammifères et des insectes (tels les fourmis et les abeilles). La mobilité de tous (pauvres et riches) dans la société prouverais notre évolution par rapports aux autre simiens. Une liberté complète où un ouvrier pourrait devenir chef (le rêve de beaucoup) ou, où un chef pourrait devenir ouvrier, non pas par nécessité mais par envie. Pour cela il faut éradiquer les préjugés, et l’assujettissement au Dieu argent. Notre soif de pouvoir et de richesse fait de cette liberté une utopie, les lois protègent les libertés de chacun, mais les réduisent aussi énormément, n’avons nous pas de sens morale, le sens des responsabilités?(il a quand même fallut gravé dix évidence sur des plaques de pierres) Vivant en sursis, dans un monde d’illusion, en liberté conditionnel, où les rêves sont des utopies et les souffrances plus réelles que les joies, on se demande alors à quoi sert la vie et encore plus à quoi sert la mort. A cela Malreaux répond « la vie ne vaut rien, mais rien ne vaut la vie ». Et qui sait peut-être que les mentalités peuvent changer, cela ne dépend que de nous. Nous avons tous « des vies à vivre » (vous avez remarqué c’est le titre de la note et de la pièce de théatre, pas bête hein?)....pleinement.