Star Trek la The Next génération 223h/602h de mon marathon

La nouvelle série est marqué par un capitaine à l'opposé de celui de la série classique (qui était un cow-boy où la fin justifiait les moyens, ou les règlements étaient entendu comme bon lui semble, alors que là on a un modèle de vertu, de culture et de bon goût - normal il est fançais - et mal à l'aise avec les gens - surtout les enfants - ). Spok est lui divisé en plusieurs persos (Data, pour la logique et l'absence de sentiments, Worf, pour l'alien incompris, luttant entre ses différentes racines, et Riker pour le n°1 fidèle et comparse indéfectible du capitaine).

Les morales de Gene Rodonberry sont encore plus présente (la famille, la responsabilité, les anciens…) en moins propagande du modèle de pensé capitaliste. Si la sauce prend bien surtout à partir de seconde saison (la 1er étant visuellement proche des décors carton pâte de la 1er série et les persos encore trop caricaturaux) il y a tout de même deux points bloquant :

Enseigne Crusher , l'enfant modèle trop poli, trop propre, trop bien à tel point qu'il en est insipide. Et Worf, le Klingon castré au charisme d'un Tilk, qui ne sert à rien si ce n'est à introduire son fils Alex qui lui est un bon perso (rien à voir avec son prénom). Incroyable que le perso soit le plus présent de la saga (son aïeul dans les films star Trek Classique, tout The Next Generation films compris et Deep Space Nine)…

The Next Gen est aussi portée sur le mode de reproduction des aliens rencontré, la possibilité de croisement inter-espèces et les relations amoureuses/sexuelles des membres de l'équipage que la première série. Ont peut dire que cette saga est la plus sexuée de ses pairs (bien devant les Star Wars et autres Star Gate).

Cette série me rappelle comment dans les années 90 je récupérait des VHS venant d'Angleterre et que je pouvais voir certains épisodes en noir et blanc sur mon magnéto (problème de compatibilité Pal/Secam). Et oui ça ne nous rajeuni pas (j'avais oublié que cette séria avait déjà 20 ans).